Mine de Tiébaghi
KoumacL’ASPMHNC organise des visites guidées de l’ancien village minier le jeudi ou samedi matin. Passi...
Suite à la découverte de « l’or vert », par l’ingénieur français, Jules GARNIER en 1864, l’exploitation du minerai et du nickel Oxydé ont durablement marqué l’histoire et la culture de la Nouvelle Calédonie.
La Nouvelle Calédonie, est dotée d’importante réserve de nickel, entre 10% et 30% des réserves mondiales. Mais rythmée depuis les années 1960 par les booms et les récessions successives, cette double rente, bien que stratégique, met à mal la soutenabilité d’une croissance économique en Nouvelle Calédonie. C’est ainsi, que d’autres secteurs comme l’agriculture, le BTP, la pêche, l’aquaculture, le tourisme et autres font l’objet de mesures de soutien et de développement à partir des ressources tirées de l’exploitation du minerai. Une diversification économique pour une croissance soutenable, tel est l’enjeu du développement économique en Province Nord.
Elément de la culture et de l’identité de la Nouvelle-Calédonie, le Nickel ou son activité a façonné la vie de plusieurs générations de calédoniens. Inscrit dans le paysage et ancré dans le cœur des Calédoniens, le nickel est beaucoup plus qu’un minerai.
Beaucoup de famille calédonienne, à la sueur de leur front, ont écrit leur histoire grâce ou malgré ce trésor. La Nouvelle-Calédonie entre aménagement, développement et perte de ses montagnes, a également vu son paysage se modifier au fil des décennies et aux rythmes du cours du Nickel. Cette activité fait donc profiter les acteurs de son exploitation mais également par ses vestiges, elle émerveille les curieux et les férus d’histoire.
En province Nord, la production minière est de 8,8 millions de tonnes soit une évolution de +70% depuis 2007. Cette augmentation résulte de l’ouverture de nouveau centre minier et d’une montée en puissance des sites existants. La construction de l‘usine du Nord (Usine de Vavouto, située sur la commune de Vook (Voh)) a été un évènement majeur dans la filière et au niveau du développement économique de la Nouvelle-Calédonie. En 2017, cette usine qui emploie 1400 salariés, a atteint la production de 17.000 tonnes de nickel (métal), soit 15% de la production calédonienne.
L’ASPMHNC organise des visites guidées de l’ancien village minier le jeudi ou samedi matin. Passi...
L’ASPMHNC organise des visites guidées de l’ancien village minier le jeudi et samedi matin. Passi...
L’ASPMHNC organise des visites guidées de l’ancien village minier le jeudi ou samedi matin. Passi...
L’ASPMHNC organise des visites guidées de l’ancien village minier le jeudi et samedi matin. Passi...
En province Nord, coexiste une pêche traditionnelle à caractère artisanal et une pêche semi-industrielle moderne vouée à l’exportation de thons frais ou congelés vers le Japon.
La pêche artisanale vise préférentiellement l’holothurie, suivie de près par les poissons du lagon. De nombreuses espèces sont exploitées mais les pêcheurs constatent pour nombre d’entre elles que la ressource est moins abondante au cours des années.
La pêche palangrière semi-industrielle vise essentiellement les thons jaunes et obèses qui correspondent aux critères de qualité sashimi, retenus pour être exportés en frais vers le Japon. La majeure partie du thon blanc est destinée au marché local, avec le maintien d’un envoi aux conserveries en période de pic de production. Une minorité est transformée en longes congelées et trouve sa place sur le marché européen.
Des filières plus modestes mais très rémunératrices existent :
En province Nord sont situées cinq fermes aquacoles dans les communes de Vook (Voh), Koohnê (Koné), Nèkö (Poya), Bwapanu (Kaala-Gomen) et Pwëbuu (Pouembout) occupent une superficie de 209 ha (en 2016).
Un Laboratoire Aquacole Calédonien situé à Koohnê (Koné) apporte un appui technique aux exploitants et effectue un suivi rapproché des fermes. L’usine de transformation située à Koohnê (Koné) utilise une technologie de pointe.
La filière aquacole en Nouvelle-Calédonie est organisée de la manière suivante :
Cette filière est parfaitement intégrée verticalement, elle rassemble tous les stades nécessaires à son bon fonctionnement.
Grâce à un appui technique adapté et à un soutien financier public important, cette filière a su trouver sa place sur les marchés internationaux. Malgré des problèmes divers et pénalisant fortement la production, la filière crevette demeure un produit phare de l’aquaculture en Nouvelle-Calédonie et permet d’approvisionner l’ensemble du marché local.
A proximité du centre de village de Canala, Albertine vous invite à prendre le large au gré d'une...
Pour tous les passionnés de l'hameçon, laissez-vous tenter par une journée de pêche au gros sur l...
A proximité du centre de village de Canala, Albertine vous invite à prendre le large au gré d'une...
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L’agriculture occupe une place prépondérante dans l’économie de la province Nord.
Il existe d’une part, une agriculture moderne et marchande et d’autre part, une agriculture traditionnelle et vouée à l’autoconsommation.
En Nouvelle-Calédonie, à l’instar d’autres pays dans le monde, l’agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l’autoconsommation, le don, l’échange et l’économie de subsistance.
Elle a une fonction sociale très importante, mais également économique à un niveau marginal. Par définition, la production n’est destinée ni à l’industrie agroalimentaire ni à l’exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par la population locale et regroupe l’ensemble des activités des populations : l’agriculture, la pêche, la cueillette, etc…
En province Nord, on peut retrouver la production vivrière sur les étals des marchés des bords de route. C’est donc la partie de l’agriculture qui n’est pas consommée, ni partagée et échangée au sein des familles.
Héritage historique et culturel, l’élevage bovin est très présent dans les activités économiques de la population du Nord.
Les éleveurs sont présents en majorité sur des terres de droits privés, lorsque d’autres, se situent sur terres coutumières.
La côte Ouest, où se trouve l’essentiel des surfaces propices à cette culture (plaine) concentre l’essentiel du cheptel du Nord. La côte Est qui est réduite à une bande côtière et quelques vallées fluviales, rassemble marginalement quelques éleveurs. Cette disparité remonte au début de la présence française et trouvent leurs origines dans la mise en place des premières exploitations rurales (répartitions spatiales) en lien avec l’implantation coloniale.
Aujourd’hui elle façonne le paysage de la destination Nord et a, en plus de la dimension économique, une place dans la culture et dans la vie de celles et ceux qui la pratiquent et qui en vivent. C’est un héritage pour la plupart des exploitants éleveurs dont la transmission reste un enjeu important aux côtés des défis environnementaux et sociaux que rencontre cette filière.
En plus de son hébergement et de sa table d'hôte, le gîte du Koniambo propose la visite de sa pet...
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Le savoir-faire des habitants du nord, une véritable richesse culturelle et patrimoniale.
Un patrimoine culturel local qui se manifeste au gré d’un art et de création :
Des créations que vous retrouverez :
Les structures d’accueil en tribu et les centres culturels proposent également de découvrir ces savoir-faire grâce aux ateliers d’initiation.
A base de feuille de cocotier, de pandanus ou de jonc, les mamans du nord savent fabriquer des objets décoratifs et utilitaires : paniers, chapeaux, couronnes, éventails, bracelets ou encore des bouquets de fleurs. Elles confectionnent aussi les nattes en pandanus, utilisées pendant les cérémonies de coutume dans le Nord.
Un savoir-faire qui est bien souvent assuré par les hommes. Les flèches faîtiers, symbole du clan, qui règnent sur le toit des cases sont la preuve de l’importance de la sculpture dans la culture kanak. Sur bois de gaïac, sur du bois rose, sur tronc de cocotier et de fougères, le savoir-faire des sculptures peut se manifester sur divers supports
Un savoir-faire que l’on retrouve aussi bien chez les femmes que les hommes. Robes popinée ou tuniques, ils revisitent ces 2 tenues (portées quotidiennement) en proposant un design moderne et des motifs bien souvent colorés.
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